Une situation rarissime avec la présence de l’aîné Thomas Allain, et de ses frères jumeaux Léo et Émile. Pour en rajouter une couche, les trois frangins jouent tous en défensive.
Thomas est au centre de la défensive comme secondeur intérieur de troisième année. Émile est un secondeur hybride tandis que Léo joue comme secondeur du côté fort. Ça ne s’invente tout simplement pas. Les jumeaux sont arrivés au campus de Lévis cette année.
Ayant joué tous les trois à l’école secondaire pour les Corsaires pendant cinq ans, il semble tout naturel que les trois frérots se retrouvent maintenant ensemble. Ce n’était pourtant pas le plan initial puisque Émile se dirigeait en Beauce pour jouer chez les Condors, mais un concours de circonstances a changé ses plans.
«J’avais fait ma demande en techniques policières en Beauce, mais j’ai échoué à mon test de français. Je l’ai refait et en attendant leur réponse, j’ai finalement pris la décision de rejoindre mes deux frères à Lévis. C’était un peu comme une consolation», dit-il à la blague.
Un choix final qui a fait l’unanimité, spécialement pour les parents qui ont vu instantanément leurs problèmes logistiques de voyagement disparaître. Capitaine d’équipe en défensive, Thomas a accueilli la nouvelle avec bonne humeur.
«On s’apprêtait à jouer contre lui parce qu’on évolue contre les Condors en division 2, mais tu apprends à la dernière minute qu’on allait finalement être réuni. Comme je suis deux ans plus vieux, je n’ai jamais joué avec eux au secondaire, mais je me disais que ça pouvait être une possibilité au cégep. Ça été une très bonne nouvelle», relate celui qui s’est souvent chicané avec ses frères jumeaux étant plus jeunes, mais qui ressortait toujours gagnant.
C’est d’ailleurs la deuxième fois de l’histoire de l’organisation que les Faucons accueillent un trio de frères. Les Breton-Robert avaient joué ensemble en 2013. Le frère aîné Anthony évoluait comme maraudeur tandis que les jumeaux Vincent et Jonathan jouaient en offensive. Jonathan et Vincent ont ensuite connu de belles carrières avec le Rouge et Or.
Une route toute tracée
Provenant d’une famille sportive avec des parents qui ont toujours encouragé leurs garçons à faire du sport, il ne fait aucun doute de l’identité de la personne qui a donné la piqûre du football aux jumeaux.
«On a fait un paquet de sports comme la natation, le soccer ou le basketball, mais c’est vraiment le football qui est resté. J’ai commencé à jouer en troisième année au mini Rouge et Or parce que mon voisin, qui était mon meilleur ami, y jouait. Mes frères m’ont regardé jouer et il faut croire qu’ils ont aimé ça», explique Thomas qui a servi de modèle comme bien des frères aînés le font au Québec.
Bel accueil
L’arrivée de trois frères dans un vestiaire peut parfois prendre de la place, mais le tout s’est fait en douceur selon le trio.
«C’est certain qu’on se fait taquiner des fois par les gars, mais il n’y a rien de méchant. On s’attendait à pire.»
Il reste d’ailleurs une autre saison aux frères Allain à jouer ensemble chez les Faucons. Avec trois joueurs défensifs motivés, l’annonceur maison devra s’habituer à prononcer souvent ce nom de famille. Il reste maintenant à savoir si le scénario se reproduira pour les trois frères à l’université…
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